Tu étais la, dans une allé sombre au milieu de la nuit avec un mec que tu n’avais pas vue depuis des années. Et maintenant tu avais ta main entre ces jambes et tes lèvres dans son cou. Est ce que tu tu étais officiellement cinglée Nyx ? Est ce que tu étais en possession de tes moyens un peu? La réponse était clairement pas. Cela ne s’étonne pas: tu as toujours eu de la difficulté à résister les charmes d’Eo. Et tu avais pourtant essayé à plusieurs reprises. C'était pourquoi tu ne l'avais pas contacté depuis la fin de ton temps en détention. Tu ne voulais pas être avec quelqu'un qui avait une aussi grosse emprise sur toi, sur tes pensées. Tu te disais que c'était pour ta survie. Maintenant qu'il était devant toi tu réalises que tu avais effectivement raison: être prêt de lui était explosif et tu étais incapable de t'en départir. Stupidité… Il n'était qu'un homme après tout… Tu le laisse doucement te tirer loin du mur et tu le laisse prendre charge. C'était rare de ta part de laisser un mec prend le dessus: tu adorais être en contrôle et leur dire quoi faire. Encore une fois Eo était l'exception à la règle et tu savais qu'au fond de toi ça te faisais flipper. L'instant même tu le sens te plaquer contre un autre mur de brique, celui-ci camoufler par une poubelle et toute tes pensées à propos de ce mec dans ta vie disparaît soudainement. Toute tes pensées étaient maintenant remplis de penser vulgaire: son corps contre le tien, ces lèvres dans ton cou, ces mains… Tu sans la pressions de ces mains plaquant tes bras par dessus ta tête: tu étais surprise que tu aimais cette sensation d'impuissance, le sentiment de ne plus être en contrôle de rien. Ça te rendais chaude. Tu ne peu pas t’empêcher de lâcher un sons de plaisir en sentant ses lèvres contre ton cou, sa main tirer tes vêtements. Tu sentais ta peau brûler sous son contact contre ta peau, surtout à l'instant même où tu sens les lèvres d’Eo sur ton sein, un des tes endroits sensible.  Oh putain, sa main est entre tes jambes. Tu en peux t'empêcher de bouger contre lui, basculant tes hanches vers l'avant. C'est juste ça que tu as? Ta voix brise doucement sous ton désire. Tu en voulais plus, toujours plus.

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Tu savais maintenant qu'il te taquinais: tu le voyais dans son regard, dans ces mouvements. Tu le voyais prendre son temps, avare de ta peau, de ton touché. Il voulais te tourmenter, te pousser vers les limites. Ne comprenait-t-il pas que tu le laisser aller plus loin que la majorité des mecs dans ta vie? Oui, tu avais déjà baisé dans une ruelle avant l'arrivé d'Eo dans ta vie: mais tu n'avais jamais abandonner le contrôle, tu n'avais jamais laissé ton partenaire faire ce qu'il voulait de ton corps. Tu avais abandonner tes défenses avec lui et tu ne savais quoi faire de plus sans te perdre toi-même. Tu refusais de te perdre, de te laisser complètement enveloppé par une autre personne. Tu ne pouvais pas vivre ta vie ainsi sous l'emprise d'une autre personne. Impossible. Avant que tu commences à perdre la carte, tu sens les dents de ton compagnon s'engouffrer légèrement dans ta peau. Tu lâches un petit soupire de satisfaction, laissant ta tête tomber doucement contre le mur: c'était comme si tu avais attendu ce moment pour te relâcher complètement. Tu avais l'impression qu'il était partout: ton mamelon dans sa bouche, sa main sur ton ventre, descendant rapidement vers ta chaleur. Tu le sens remonté sa langue vers le haut, la glissant jusqu'à ton oreiller avant de te murmurer quelque chose. Patience? Tu étais la meuf la moins patiente sur terre et oh qu'il le savait. C'était exactement pourquoi il te torturer ainsi. Quand tu ressens sa main entre tes jambes, tu te retiens de bouger contre elle: tu ne voulais pas lui donner la satisfaction. Tu ne pouvais pas malheureusement contrôler à quel point tu étais mouillés, à quel point tu étais excité. C'était physiquement impossible. Tu te mords la lèvre pour ne pas lâcher de sons de plaisir, de pas le supplier de la prendre et puis basta le reste. Tu avais déjà fais une concession: tu étais prisonnière de son emprise et tu n'avais aucun contrôle sur le moment. S'il te voulais autant que toi, c'était son tour de le montrer, de te le dire. Aller Eo... tu peux simplement l'admettre que tu me veux. Tu te mord la lèvre. Bon c’était con de pas simplement lâcher le morceau et d’admettre ce que clairement il voulait de toi, mais c’était plus fort que toi! Tu ne pouvais simplement pas.

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Bravo Nyx, tu étais en train de te faire baiser dans une ruelle. Tu avais tellement de classe, tu te demandais si tu n’avais remonté tes standards au travers des années: pourquoi est-ce que tu ne pouvais simplement pas baisé dans un endroit clos pour une fois? Quel était ton obsession avec les endroits publics et les endroits qui n’avaient simplement pas de toit? Au plus profond de toi tu connaissais la réponse: tu adorais l’idée d’être découverts, l’idée que quelqu’un pouvait simplement marcher dans la rue et te voir avec une queue profondément en toi. Ça t’excitait. Et qui ne voulait pas baisé avec une vue? C’est à ce moment précis qu’Eo te tire vers lui et tu savais mieux que de penser qu’il allait simplement t’embrasser: vous étiez trop loin pour faire cette simple action. Tu le sens te tourner vers le mur et tu ne résistes même pas: tu savais que tu étais trop consommer par ton excitation pour protester. Tu voulais simplement le sentir glisser en toi, le sentir bouger. Tu met tes mains devant toi pour pas que ton visage touche contre le mur: rien de moins érotique que de recevoir de la brique dans la gueule. Tu lâches un sourire en sentant son corps contre le tien: tu adores la pression de son torse contre ton dos, de ces jambes plaqué contre les tiennes, de son érection contre le bas de ton dos. Tu pouvais sentir sa longueur presser la, dure et demandante. Tu ne peux t’empêcher de lâcher un petit soupire de plaisir en sentant ces lèvres contre la peau de ton cou, de sentir sa langue y glisser, ces dents éraflés ta nuque. L’instant d’après tu sens ton pantalons descendre puis ton string suivre le même parcour. Tu sens Eo prendre son temps en arrière de toi, de glisser son membre sur tes fesses et entre: tu sens le moment ou il hésite à te prendre par derrière et finalement le moment qu’il te prend, l’instant ou tu le sens te pénétrer dans ta chaleur. Tu ne peux t’empêcher d’échaper un gémissement de plaisir en le sentant s’y glisser au complet, le sentant finalement bouger en toi. Tu laisse toute les tensions de ton corps disparaître sous son toucher et avec chaque coup de hanche tu sens ton plaisir augmenter. Le claquement de vos peaux frappant l'un contre l’autre résonne dans la ruelle et se simple sons te pousse encore plus vers l'extase. Tu en voulais encore plus: tu voulais plus fort, plus dure. Comme par magie, tu sens la main d’Eo glisser dans tes cheveux et te tirer vers l’arrière. Tu ne peux pas t’empêcher de lâcher un son de plaisir, de te resserrer autour de son membre. Les mots sort seul de ta bouche: Mord-moi. Fort.

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