Pourquoi cette soirée? De toute les journées de la semaine il fallait «bosser» un lundi soir, ce qui voulait dire sortir du bar, sortir du garage et de faire du business. Je soupire, incapable de me retenir. Ça ne sert à rien de tout blâmer sur une journée de semaine. Lundi ne m’avais rien fait, mais j’étais quand même frustré. En fait, frustrer n’étais pas le mot qui convenait. J’étais complètement en furie. Je serre des dents, serrant mes mains autours du guidon de ma moto pour pas me mettre en colère contre le jeune nouveau pour la deuxième fois ce soir. Il avait déjà reçus une volée de coups un peu plus tôt et j’avais l'impression que si je lui en foutait d’autre, ’il allait finir dans un coma. Je prend cette opportunité pour accélérer. À ce point, je m’en foutais. J'avais maintenant un problème à régler et si j'allais me pointé au port, je préférais me rendre le plus vite possible. Accompagné par une dizaine de mes motards, je guide ma moto dans le port et au travers de la clôture, allant directement au lieu du rendez-vous. J’espère que les Irlandais n’étaient pas déjà arrivés, qu’ils n’étaient pas là à attendre. Si c’est le cas, je suis certain que le nouveau allait pas survivre la nuit. C’était une des choses que je déteste le plus: des gens à qui tu ne peux faire confiance, qui foire et qui me fait perdre de l’argent. J’étais pas le président d’un gang de motard pour rien et j’avais pas peur de lui apprendre les manières. Finalement j’arrive au lieu de notre rencontre quelques minutes avant l’arrivé de mes invités. Du coin de l’oeil, je vois le nouveau soupirer de soulagement. Félicitation kid, tu vas vivre une autre nuit. J’avance au centre des deux groupes et commence à papoter avec mon dealer, le sourire au lèvre. J’étais prêt à faire de l’argent. Beaucoup, beaucoup d’argent.

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Une chance que le deal c'était bien déroulé et que rien n'avait chier. Bah, pas totalement chier. Comme d'habitude les irlandais veulent plus que le deal original mais tu savais que cela allait se produire. Tu es un mec intelligent tu avais planifié le tout en avance pour être certain de faire exactement le montant d'argent que tu voulais. Tu t'approche de la nouvelle recru, déposant ta main sur son épaule et serrant. Une pression presque trop dure, signifiant qu'il n'était pas mort et qu'il allait devoir travailler doublement fort pour me prouver qu'il voulait vraiment faire partie du groupe. Etant sure de l'avoir traumatisé assez, tu arrange son gilet de cuire et lui dit de se barrer, d'aller nettoyer le bar avant que les autres se pointe. Le jeune c'est retenu de courir vers sa moto. C'était hilarant et tu te retenais de montrer ton amusement. C’était pas le moment. Du coup, tu décides d’avoir une discution avec ton VP sur ce qui venait de se produire. Tu lui indiques que tu ne voulais plus que les informations importante comme des rendez-vous avec des fournisseurs se fasse perdre parce que quelqu’un avait envoyé un gosse faire le boulot d’un mec. C’est à ce moment là qu’une jolie brune se plante devant toi et te demande une clope, interrompant la conversation avec ton VP. Tu la regardes en te demandant d’ou elle sortait. Une seconde tu parlais avec un gros barbus et l’autre une jolie femme était devant toi et te demandais quelque chose. Juste comme ça. Pouff. Tu es surpris mais fasciné et les gars ne comprennent absolument rien. Personne ne montrent leur surprise: tu les as entraînés à cacher leurs émotions au plus profond de leur être. Tu décides de faire ce que tu fais toujours, tu lui lance un des tes sourires charmeur, quoi que cela n’était pas difficile en la regardant, et sort ton paquet de la poche intérieur de ton gilet de cuir et sort ton paquet de clope. Tu lui ouvre et lui en donne une. Du coup tu prend aussi une clope et la met entre tes lèvres avant de sortir ton briquet de ta poche. Tu allumes ta cigarette avant lui demander d’un geste si elle avait besoin de son briquet.

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Tu n’avais aucun problème avec la tournure des événements: une jolie brune se pointe devant toi, te mate de long en large et tu venais de faire des millions de dollars. Voyant qu’elle n’allait pas se barré de sitôt, tu décides de faire ce qu’elle voulait clairement. Tu la matte de haut en bas, prenant ton temps pour l’observer. C’était comme si elle était parfaite: pas trop petite, une bonne poitrine et un beau cul bien rond. Elle était sexy et tu étais certain qu’elle le savait. Tu l’as laissé tourné autour de ta moto, de l’admirer. D’habitude les meufs regardait ta moto que pour coucher avec toi, oui ça arrive même aux mecs, et clairement n’aimait pas l’oeuvre d’art qu’elle était. Tu trouvais ça rafraichissant d’en voire qui clairement l’adorait. Tu lui souris. Tu vois dans son regard qu’elle cherchait quelque chose de plus avec toi. Du sex? Oui c’était certain. Mais il y avait autre chose: elle voulait de l’aventure et du danger. Elle cherchait quelque chose de trippant. Tu fais le tour de ta moto et tu t’approche d’elle. Tu ne l’as connaissais pas, mais tu étais certain qu’elle avait bien choisi en se plaquant devant toi. Tu t’assois sur ta moto et la démarre. Tu la vois te regarder, se demander ce que tu foutais, pourquoi tu ne lui répondais pas. Elle n’avait pas peur de toi, elle n’était pas nerveuse: elle était excité et putain tu trouvais ça bandant. C’est pour ça que tu lui tend ton casque et lui donne un sourire en coin. Si elle voulait de l’amusement, elle allait en avoir. Monte.

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Franchement la soirée va de mieux en mieux. Cette nana avait vraiment peur de rien et tu n’avais jamais été aussi attiré par une femme. Elle n’était pas naïve au contraire: elle savait exactement ce qu’elle faisait et elle adorait. Rien ne te faisais bander plus qu’une meuf avec autant de confiance. Tu l’as sent monté en arrière de toi. Tu fais exprès d'avancer d’un coup pour qu’elle mette ses bras autour de toi. Tu souris: ça marche à chaque fois. Tu glisses ta main sur la sienne avant de la glisser sous ton chandails, tenant le guidon de ta moto d’une main. Elle voulait avoir une aventure dangereuse? Putain tu étais plus que partant. Après avoir décollé avec la moto, les mecs démarrent et te suivent. Tu leur fais signe de la tête et accélère drastiquement la sentant ses doigts serrer contre tes abdos. Sur le coup tu demandes si elle grafigne au lit et ça te fais sourire. Tu roulais maintenant à une vitesse dangereuse et tu la sentais sourire, rire et crier en arrière de toi. Jamais avais-tu eu une réaction aussi passionné. Tu te promets de rendre sa soirée mémorable, une soirée qu’elle n'oubliera jamais. À cause de la vitesse, tu arrives au garage dans un temps record. Le garage que tu appartiens était ton emploi ‘légal’. Le club était sur le même terrain, mais dans un bâtiment séparé et plus loin sur le terrain énorme. Tu vas directement te stationner près du club, te reculant dans ton parking. Tu sais les mecs se garer et rentrer directement dans le club. Ce soir il y avait des festivités: nous venions de nous faire des millions de dollars et les mecs avaient besoin de célébrer! Le gang au complet y était, leur meufs aussi et aussi des CrowEaters, des meufs qui étaient simplement là pour baiser avec les mecs. Tu éteint ton moteur et attend qu’elle descends avant de faire de même.

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Tu n’avais jamais vue une femme aussi heureuse d’être dans un endroit complètement peuplé de motard. C’était comme si elle se foutait du fait qu’ont avaient tous des armes, que nous étions violent et dangereux. Putain c’était sexy. Quand elle débarque de la moto tu fais de même, reprenant le casque avant de le déposer sur le banc de la moto. Tu ajuste ton veston de cuir pendant qu’elle admire les alentours. Tu ne dis rien. Tu attends qu’elle prenne une décision de te suivre ou non. Tu ris intérieurement: comme si tu allais la laisser partir maintenant qu’elle était là. Elle te fascinait oui et tu n’étais pas prêt à la laisser se pousser. Tu souris à sa blague; tu ne faisais pas semblant, elle n’était pas moche. Tu t’approche d’elle et glisse ta main dans ses cheveux pour les replacés. Tu n’as même réaliser ce que tu faisais avant que ce soit fait. Étrange. Tu secoues la tête intérieurement. Si tu le mentionnais pas, peut-être qu’elle ignorera le mouvement. Tu prends le temps de la relookée avant de reculer doucement vers le club. Des gens rentraient et sortaient du clubhouse et tu pouvais entendre la musique. Tu tentes de te rappeler la dernière fois que tu avais apporté un brunette avec toi au club: longtemps. Tu lâche de ta voix grave Tu viens? Tu reste là et tu l’attends. Tu avais pas envie de la forcer à rentrer mais tu ne voulais pas qu’elle se barre tout de suite. Tu voulais savoir a quel point elle était prête à aller pour de l’aventure, pour de l’adrénaline. Tu te demandais si plus tard vous alliez baiser et si elle était bonne. Cette pensé tu la laisse apparaitre sur son visage pendant que tu la relooke: tu veux être sûre qu’elle sache exactement ce qui allait se produire ce soir. Que si elle rentrait dans le club avec toi qu’elle était à toi. Tu ne jouait a aucun jeu: tu étais 100% honnête. Tu espérais qu’elle saute sur l’occasion.

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Tu souris, content de sa réaction. Tu devais être franc: cette meuf t'impressionne. Tu attends qu’elle arrive à ta hauteur avant de mettre ton bras autour de ces épaules. Tu démontré qu'à partir de maintenant elle était complètement à toi. Tu le montrais à elle, mais aussi aux autres. Personne n’allait s'impose entre elle et toi: tu voulais que le message soit claire quoi c’était pas vraiment nécessaire. Aucune meuf avec le Président  aurait été traité autrement qu’avec respect. C’était comme ça que cela fonctionnait dans les gangs. Touche pas ce qu’il t'appartient pas si tu veux vire. Tu approchais le club et ouvre la porte. Tu ne dis rien: tu veux qu’elle absorbe tout ce qui se passe autour d’elle. Tu te foutais de ce qu’elle voyait: tu savais qu’elle n’allait rien voir d’illégale et qu’elle ne pourrait rien dire aux autorités si elle décidait le lendemain qu’elle avait fait une erreure. Tu te doutais qu’elle était ce genre de nana, mais tu étais un mec prudent: rien d’illégale a la vue des gens. Toi et ton groupe avait des règlements spécifique: c’était la seule raison que vous étions encore tous vivants et pas mort ou en taule. Pas que tu n’en avais pas fait. Tu n’étais pas vraiment un membre du gang si tu n’avais pas ton propre mugshot. Avec bar a droite, la table billard dans un coin, une porte double fermée était la première chose qu’elle voyait était certainement le mur recouvert des mugshots de tous les membres du gangs incluant la tienne.  Et le mur était plein. Tu souris en voyant ta photo. Elle était bien. Pendant qu’elle observe la pièce au air masculine, tu t’approches du bar et demande deux bières à une des recrues. L’endroit était plein de personne qui parlaient et buvaient. C’était un chaos parfait. Et tu adorais. Tu reviens près d’elle et lui donne une bière. T’en pense quoi? C’est tout ce que tu pensais que ce serait?

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Tu aurais préféré qu'elle ne mordille pas sa lèvre. C'était pas que tu n'aimais pas au contraire: tu trouvais ça carrément trop sexy quand elle prenait sa lèvre inférieure entre ses dents. Cela te donnait envie de faire la même chose. Tu caches ton envie de la dévorer, et la regarde faire. Elle était tellement curieuse: ces yeux marrons regardant chaque petit détail de ton club, analysant chaque objets, chaque personne présente. Tu pouvais voir son cerveau fonctionner derrière ces yeux. Cette nana était intelligente cela était une évidence. Tu ris a son commentaire: c'était évident qu'elle avait eu la mauvaise idée. Tu en étais pas surpris: elle n'était pas la seule à avoir commis cette erreur. Elle était dans un simple bar. Rien dans cet endroit pouvait incriminer qui que soit. L'endroit était si propre qu'elle ne trouvera même pas un arme qui n'était pas enregistrer. Tu étais plus intelligent que les gens pensaient et tu préférais ça comme ça. C'était plus facile de surprendre les gens, surtout les fédéraux, ce qui était parfois amusant quand ils cherchaient quelque chose pour les foutres en taules. Marrant et aucunement fructueux pour eux. Simplement une perte de temps. Tu lui sourit quand elle te demande ce qui se trouvait en arrière des portes doubles fermer. Ça t'étonne pas qu'elle voulait découvrir ce qui se trouvait en arrière. Tu savais déjà d'elle qu'elle était trop curieuse pour son bien être. Et pour une raison, tu trouvais ça bandant. Elle avait des couilles et elle était magnifique en plus. Tu t'approches d'elle, ton corps touchant presque le siens. Tu glisses ta main sous son menton et le lève doucement pour qu'elle te regarde dans les yeux. Tu es si curieuse Ange. Que vais-je faire avec toi? Tu souris en coin, plongeant ton regard dans le sien. Tu étais curieux toi aussi. Tu voulais savoir ce qu'elle allait faire autant que tous les autres membres de ton gang qui, depuis votre arrivé, l’observais. Tu entends les mecs sortir des verres pour faire des shots. C'était une tradition: les nouveaux initiés devaient passé un test pour voir s'ils avaient l'estomac assez fort pour tenir leur boissons. Tu savais qu'en se moment même deux ligne de dix shot se faisaient remplir de whisky. Quelqu'un au loin demandais pour ton attention, mais tu étais autrement occupé avec Ange. Tu n’avais aucune idée de son nom et pour une raison, tu t'en foutait. Tu aimais le nom que tu lui avais donner. Alors? Tu es si curieux que tu n’avais pas vraiment envie de lui donner le temps de réellement penser. Tu voulais quel agis, qu’elle saute sur l’occasion de faire quelque chose de complètement débile.

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Ce n'étais pas comme si tu n'étais pas habitué aux meufs qui voulaient que ton corps. La plupart du temps, c'est ça que tu voulais. Tu aimais la possibilité de baisé les femmes de ton choix et tu adorais le fait que tu n'étais pas coincé avec un d'elle en particulier. Tu aimais la diversité: tu aimais le jeu. Tu avais appris avec les années que les femmes voulaient toujours la même chose de toi: du sexe, une bague, des gosses. Tu n'avais jamais voulu avoir de gosses, tu n'avais jamais vraiment pensé à la possibilité d'être un jour père d'un gamin. C'était peut-être la raison pourquoi ton mariage n'avais pas fonctionner. Tu n'étais jamais prêt a faire des compromis: tu voulais tout faire à ta manière et basta ce que les autres voulaient. Le problème était d'avoir épousé une femme avec le même caractère que toi. Bref, moche pour le mariage, super pour le boulot. Tu reportes ton attention sur Ange. Tu l'as vois ce mordillé la lèvre et tu fronces les sourcils. Est-ce qu'elle pouvait ne pas faire ça tout le temps? Comment est-ce possible de penser à autre chose que ces lèvres? Forcément, elle savait ce qu'elle faisait, l’effet qu'elle portait sur les autres. C'est à ce moment là qu'elle ouvre la bouche. Putain, tu déconnes. Elle venait pas vraiment de te demander ce que tu voulais lui faire? Une centaine d'idées, tous plus perverse que la précédente, apparaisse dans ta tête. Tu te sens comme un pervers et tu t'en fiche. Ange venait de pousser le jeu à un autre niveau et tu te demandais comment tu allais répondre à ces avances. Clairement, tu étais affecté par elle: par ces yeux, par son corps, par son caractère. Tu lâches un sourire charmeur. Non, tu n'allais pas la baisé. Bon, pas maintenant. Quel était le but d'un jeu si tu sautes directement à la fin? Tu lâches son menton et glisse ton bras autour de sa taille. Viens. Tu la diriges vers le bar: les shots étaient remplis d'un liquide ambré et n'attendent que d'être but. Tu la met devant la ligne de verres avant de te glisser derrière elle. Ton corps se colle contre son dos et tu te penche pour lui murmuré dans l'oreille. Montre moi a quel point tu es aventureuse Ange. Bois. Tu voulais voir si elle allait vraiment le faire, si elle allait sauté carrément.

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Tu étais là, derrière elle, regardant, analysant ce qu’elle allait bien pouvoir faire. Tu ne savais pas pourquoi mais tu étais certain qu’elle allait sauté sur l'occasion, qu’elle n’allait reculer devant rien. Tu la connaissais depuis à peine quelques heures, mais tu avais l’impression de la connaître, comme si vous aviez passé des années à apprendre tout de l’autre. C’était légèrement flippant à quel point tu étais à l’aise avec cette meuf qui venait soudainement d’apparaître dans ta vie. Elle était vraiment quelque chose. Tu restes contre elle et la regarde lever le premier verre et le boire cul sec. Tu ris quand elle te demande ce qu’elle buvait. Tu te penches et murmure à son oreille. De l'absinthe. Tu souris en voyant des frissons dans son cou. Tu ne dis plus rien et la regarde de ton perchoir. Tu te demande si elle allait vraiment tout les boires, si elle allait se laisser rendu au milieux. Tu ne savais pas pourquoi, mais un sourire en coin venait d'apparaître sur ton visage. Du coin de l’oeil tu pouvais voir un de tes mecs te regarder comme si tu étais un fou: c’était rare que tu affiches un sourire en coin pour un truc aussi simple qu’un shot but par une meuf que tu venais de ramasser dans un port. Tu fronces les sourcils et le mec se barre plus loin. C’était le seul qui avait remarquer et pour ça tu en étais soulager. Ironiquement, les autres étaient absorbé par ce que ta belle brunette faisait en avant de toi: elle buvait verre après verres comme une pro. Tu voyais l'atmosphère dans le bar: tous la regardait faire. Tu voyais même quelques mecs faire des paris à l’autre bout du comptoir. Elle était surprenamment devenu une attraction et tous étaient absorbés. Tu te retiens de montrer de la fierté: tu montres simplement un intérêt et de la surprise. Tu étais impressionner. Elle buvait ces shots comme une championne: tu connaissais des mecs qui n’avaient pas pu terminer les dix sans vomir. Rendu finalement au dernier, tu voyais qu’elle prenait une grande respiration. Ce n’était pas sa respiration qui m'étonnais mais la réaction des meufs dans le bar. Putain, elles encouragent Ange! Puis elle avale le dernier. Les meufs étaient contente pour elle: tu voyais même certain de tes mecs hocher de la tête en approbation. Tu fronces des sourcils: c’était absolument n’importe quoi et franchement bizarre de les voir aller. Tu ne mentionnes rien de plus et laisse cette inconnue tourner doucement vers toi. Tu ris à son commentaire. Comme si tu avais besoin de faire quoi que ce soit pour avoir une meuf. De plus, ce n’était pas comme si tu les voulaient dans ton monde: tu voulais baiser et après tu voulais qu’elles dégagent. Je voulais voir si tu allais le faire. Appelle ça de la curiosité. Tu pointes les membres de ton groupe d’un mouvement de tête, maintenant tous occupés à boire ou balader leurs mains sur une meuf ou une autre. Étonnamment ils t’aiment bien, Ange.

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Tu ne peux pas t'empêcher de penser que cette meuf était probablement folle. Carrément folle même. Qui voudrait vraiment passé du temps avec une bande de motard, les trous de culs de la société, des anarchistes? Tu étais le pire mec inimaginable pour une belle femme comme elle. Tu savais simplement en la regardant qu'elle était une fille de riche et qu'elle était loin d'être conne. Elle avait probablement une éducation et tu frics. Alors pourquoi vouloir passer du temps avec une bande de sociopathe qui passaient leur vie a vendre des armes et qui apporte simplement le chaos dans la vie des gens? C'était vrai que personne ne pouvait le prouver: légalement, tu étais un garagiste, le propriétaire du seul garage de valeur de tous Amistad. Mais c'était pas comme si tu pouvais contrôler les rumeurs sur toi et sur ton gang. Elles étaient tous vraie, les unes autant que les autres et vous vous en foutiez. Ton rôle était de faire du fric sur le dos des autres gangs et de protéger ta petite ville de ceux qui voudrait y foutre la merde. Vrai, il y avait de la vente illicite de drogue dans la ville: mais tu ramassais un pourcentage des ventes alors tu t'en foutais. Mais elle, Ange. Tu la comprends absolument pas. Et franchement, tu ne sais pas pourquoi cela te dérange: c'est pas comme si dans le passé cela t'avais arrêter de faire ce qui te chante. Tu lui lance un sourire charmeur en entendant son commentaire. Je me demande la même chose... Elle met une mèche derrière son oreille et tu ne peux pas t'empêcher de trouver ça charmant. Tu te retiens de te donner un coup de pied mentale. Charmeur. Mais tu es bourré? Ce n'est qu'une meuf pas la Vierge Marie. Calme tes fesses et arrêter de penser autant. Tu ignore le commentaire sur Ken, mais tu ne peux t'empêcher de lever un sourcil à la comparaison. Elle était clairement sarcastique. Tu essais de ne pas y penser trop longtemps: penser avec cette meuf devant toi était clairement une mauvaise idée.  Puis elle te mentionne la porte a nouveau. Soit elle était réellement curieuse de se qui ce trouvait derrière la porte, soit elle voulait simplement être seule avec toi. Tu adorais les deux idées. Tu y pense à peine avant de glisser ton bras autour de sa taille et la diriger vers la porte. Assez, tu ne voulais plus penser à rien. Elle voulait rentrer dans la salle de réunion des membres haut placé? Bon parfait, tu t'en foutais, il n'y avait rien la dedans de compromettant. Tu lui ouvre la porte et tu la laisse rentrer dans la pièce avant de fermer doucement la porte derrière elle. La pièce était simple: une énorme table était au centre de la pièce. La table était spéciale: elle était fait spécialement pour eu avec leur emblème gravé directement dans le bois, une sculpture encastrer dans la table. Autour il y avait plusieurs chaises en cuir noir avec une légèrement plus imposante au bout: ta chaise.  Tu la laisse observer et prendre son temps dans la pièce. Tu savais que vous n'étiez pas prêt de partir de sitôt.

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Elle contourne la salle comme si elle n'avait jamais rien vue de tel: elle admirait toute les surfaces, chaque petit détails. Tu savais qu'elle voyait plus que tu n'avais jamais vu auparavant dans cette salle de bois foncé. Tu avais passé toute ta vie depuis tes seize ans dans cette salle, à écouté tous les membres haut placé du club discuté business. Tu ne voulais plus les détails qui faisait cette pièce spéciale: la table était simplement une table de bois, les chaises de cuirs montrait seulement leur usure. La seule chose que tu voyais était les moments que cette pièce avait vécu, les scènes de douleur, de joie et de haine. Parfois tu te demandais ce qui t'avais bien pu pousser à poursuivre ce genre de vie: est-ce que tu t'avais imaginer une vie remplit de crime, de meufs lousses et de bagarre sanglante? Tu n'avais jamais pris le temps d'y penser puisque toute ta vie tu avais été initié à être la relève, d'être le prochain président. Tu l'avais simplement accepter. C'était en la voyant absorbé la pièce comme si elle était dans un endroit sacré, tu ne pouvais t’empêcher de lâcher un sourire en coin. Tu n'avais pas regardé cette pièce de cette manière depuis que tu étais gosse. C'était mignon de la voire faire et c'est exactement ce que tu fais: tu l'admires. Après avoir fait le tour de la table, tu l'as vois s'arrêter prêt de ta chaise, hésité un moment puis s'assoir sur la table. Tu te retiens de lâcher un sourire en coin en à la voyant faire. Tu avais bien vue qu'elle c’est retenue de s'assoir dans ta chaise et tu trouvais ça rafraichissant. N'importe quel meuf invité dans cette pièce n'aurait pas prit le temps de penser à ce qu'elle faisait: elle aurait foutu son putain de cul sur ta chaise et tu n'aurais pas pu t’empêcher de la foutre à la porte. Comment pouvais-tu respecté quelqu'un qui n'avait clairement pas de respect pour un endroit comme celui-ci? Tu t'empêche de rouler des yeux à tes pensés: une meuf dans la salle de réunion. Cela n'était jamais arrivé avant. Ange était la seule femme, outre que ta soeur et ta mère, à avoir été invité dans cette salle. La salle sentait la testostérone bon sang. Depuis aussi longtemps que tu oses te rappeler, les femmes n'ont jamais été les bienvenues dans le club et encore moins un membre au placer. Elles étaient simplement les femmes de tes mecs, ni plus ni moins. Elles n'avaient aucun privilège. Alors pourquoi avoir laisser celle -ci entrer dans un endroit qui était techniquement sacré? Putain tu ne le savais pas, mais elle était la maintenant. Qu'allais-tu faire? Tu la vois maintenant se mettre confortable sur la table, déposé ces  bras en arrière d'elle: tu avais l'impression qu'elle s'allongeait ainsi pour toi, pour que tu puisses l'admirer. Et putain tu admirais. Elle était carrément canon: tu avais remarqué le tout un peu plus tôt, mais tu n'avais pas remarqué à quel point ces yeux étaient magnifique. Il était d'une couleur époustouflante. Et maintenant ces yeux là te regarder de haut en bas, te bouffant. Tu n'avais jamais été aussi attiré par une femme qui te relookais ainsi. Elle ne te cachait absolument rien: elle n'avait pas d'autre intention, aucun plan pour te changer en quelqu'un que tu ne serais jamais. Elle était simple, aucunement compliqué ni complexe. Tu voulais la bouffer tout rond. Tu ne répond pas à son commentaire: tu ne voulais pas brisé le moment en lui mentionnant que la table d'Arthur était en faite ronde. Tu t'avance simplement dans sa direction et tu t'assoies doucement dans ta chaise. Tu n'avais jamais été aussi content de t’assoir qu'en se moment précis. Maintenant assis dans la tu as une vue parfaite de son corps, de ces jambes, de ces seins. De cette vue elle était perfection. Tu te retiens de la toucher: tu voulais qu'elle se donne à toi au complet avant de prendre ton pied.  Tu la regardes avec envie avant de murmurer: Retire tes vêtements.

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La soirée s'annonçait de mieux en mieux et tu n’aurais pas pu mieux prédire ce que tu avais bien pu faire pour recevoir ce cadeau que tu appelais maintenant Ange. De toute la soirée vous n’aviez pas partagé vos noms: vous étiez deux inconnues qui c’était rencontré à peine quelques heures plus tôt. Tu adorais le fait que tu connaissais pas son nom: putain ça te faisais bander. Le simple fait qu’elle n’ait même pas tenter de te demander ton nom, qu’elle n’avait même pas donner le sien, t'excites Tu étais certain que l'anonymat entre vous deux était une des raisons pourquoi vous étiez maintenant coincé seul dans la salle de réunion qui était maintenant remplis d’une tension sexuelle intense. Oh et le fait qu’elle était complètement cannon aidait aussi. Tu croyais qu’elle était physiquement parfaite envelopper par ces vêtements: c’était pendant qu’elle les mettrait tous que tu réalises qu’elle était effectivement parfaite. Au début tu n’étais pas certain si elle allait vraiment faire ce que tu lui demandais: tu ne savais pas si elle était le genre de meuf qui aimait se faire dire quoi faire sexuellement et tu savais encore moins si elle allait avoir assez de culot pour vraiment le faire. Tu étais un mec qu’elle ne connaissait pas, un mec qui lui demandait de se dénuder devant lui sans même flirter avec elle avant, avant même de lui demander si elle avait de l'intérêt. Tu n’étais pas le genre de mec qui aimait prendre quatre chemin pour dire ce qu’il pense ou ce qu’il veut. Tu le dis simplement et si la personne voulait c’était encore mieux.  Tu étais heureux de constater qu’elle était plus qu’heureuse de participer au petit jeu que tu avais initié. Bon, l’appeler un jeu était un peu intense: tu aimais être en contrôle et tu voulais être certain qu’elle le savait avant même de continuer cette petite danse entre vous deux. Tu souris en coin en la voyant descendre doucement de la table et de se mettre en avant de toi. L’espace entre tes genoux et la table, l’endroit qu’Ange était à l’instant, était restreint. Tu savais qu’un seul mouvement de ta part et ta jambe la toucherais. Tu prend soins de ne pas bouger et de simplement l’admirer. Tu n’as jamais été aussi heureux d’avoir demander à une femme de se dévêtir devant toi. C’était comme un spectacle devant toi: elle retire doucement et langoureusement chaque morceau de vêtement qu’elle portait, à l’exception de sa lingerie. Tu sens ton membre durcir contre ton jeans, ton érection maintenant très apparente. Elle portait un petit ensemble en dentelle rouge, un morceau d’une couleur éclatante et ce que tu adorais le plus était le fait que le tout était en majorité transparent. Tu regardes son body rouge et la seule chose que tu penses es à ton envie de lui arracher. Oh non, pas de lui retirer doucement, mais de glisser tes doigts sur la fabrique et de lui arracher avant de la ravager. Puis tu entends sa voix: elle te demande de faire la même chose, de te dévêtir devant-elle.  Tu échappes un petit sourire charmeur avant de te lever: ton corps touche presque le sien, mais tu ne fais aucun mouvement pour la toucher. Tu l’as regarde dans les yeux et tu commences à retirer tes vêtements: tu retires ton cut avec le nom de ton gang et le dépose sur l’arrière de ta chaise. Tu étais bander oui, mais tu n’étais pas assez con pour le lancer comme ça dans la pièce. Tu retires maintenant ton chandail, montrant tes muscles et tes tatouages. Ton jeans tombe bas sur tes hanche, montrant le v parfait de tes muscles. Tu glisses tes mains vers l’avant de ton jeans et commence à le déboutonné. Tu prends ton temps de déboutonné chaque bouton de ton jeans, mais tu ne le retire pas: sous ton pantalon tu ne porte absolument rien. Et puisque ton pantalon était maintenant ouvert, rien n’était laissé à l’imagination et tu sais qu’elle ne pourra pas hésiter d’y jeter un coup d’oeil. Tu lui donne un moment avant de murmurer d’une voix rauque d’excitation: Sur la table.

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